Lu dans les attendus d’un jugement du TGI de PARIS (dates et identités modifiées)
Attendu que Monsieur Pierre TOMBAL a pu d’autant plus facilement s’abstenir de respecter le règlement de copropriété et ne pas aviser le syndic des travaux projetés que son épouse, depuis la mise en copropriété de l’immeuble, le 20 mars 2082, jusqu’au 9 juillet 2086, faisait office de syndic bénévole de la copropriété, (…)
Comme aurait dit notre très regretté Serge DROPSY, M. et Mme TOMBAL devaient faire chambre (funéraire) à part.
J-X/L