du latin SOLA. Le mot est employé à partir du XIVe siècle et se rapporte à un mur ou à une toiture.
A l’origine, espace qui se trouve entre les bouts des solives posées sur une poutre, sur une sablière et qu’on remplit de mortier. En toiture, la défaillance d’un solin au droit d’une souche de cheminée, par exemple, est cause de fuites.